Publications:

  • TheVoicebox-Webster University, Geneva: « Sex and the insides of therapy« ,2006.
  • Journal des psychologues suisses , Psychoscope : article: « Les adolescent(e)s et nous-Un état des lieux« , Vol 29 no 7, 2008 – Étude sur les dépendances des adolescents .
  • Journal des psychologues suisses, Psychoscope : article : »La thérapie-espace de liberté », février 2009.
  • Journal hebdomadaire Migros Magasin : « Pour vous, c’est quoi un étranger ? « ,:  7 nov.2011
  • Journal hebdomadaire Migros Magasin« Les hommes, ces grands consommateurs des câlins » : 25 aout 2011.
  • Journal des étudiants, Étudiant.ch: « Prendre une année sabbatique! Comment éviter que le rêve ne vire au cauchemar »,2012.
  • Journal hebdomadaire Migros – Magasin : « Pourquoi la poitrine fascine et complexe tant? »- 2 avril 2012.
  • Revue suisse « l’Hebdo »- « Pervers narcissiques- Ces impitoyables séducteurs »- 23 aout 2012.
  • « La psychologie Transpersonnelle ou le temps du changement », no 10, Edit.Eurobit, 2012.
  • « Couple, six clés pour faire durer l’harmonie et la magie », Magazin Femina, 29 septembre 2013.
  • Interview  ,Radio-Cité Genève : émission:« La fragilité du couple », rdv. 12/13, le 7 oct. 2013.
  • « Transcendance et désir de vérité » , Conférence Annuelle de l’Association Européenne de Psychologie Transpérsonnelle, Bucarest, 18-19 oct. 2013.
  • Magasin Hebdomadaire Femina : « Les femmes cougar » ,  5 octobre 2014
  • Magasin Hebdomadaire Femina: » Coucher ou pas le premier soir ? » , 16 mars, 2015.
  • Magasin Hebdomadaire Femina: « Pourquoi la poitrine fascine et complexe tant? »
  • Télévision Suisse Romande : « Ils se remarient et ils vécurent heureux longtemps »: forum du 26 mars 2015.
  • « Pourquoi la poitrine fascine et complexe tant? » La symbolique de la poitrine comme féminité, maternité, mais aussi séduction existe depuis la préhistoire, dans les peintures ou sculptures. Et pourtant, la taille des organes n’est pas corrélée avec une augmentation de la capacité érogène et ne garantit pas non plus un meilleur allaitement.

Pourquoi les opérations touchant aux seins sont-elles si fréquentes? C’est une norme imposée par les moyens de communication visuelle. On vit dans une société compétitive, qui nous pousse à désirer plus, meilleur. Tout le monde veut «améliorer», «réparer». Cette logique de compétition profite à la chirurgie esthétique, mais aussi à l’industrie de la mode, des cosmétiques, etc.

Mais cela peut permettre de régler un complexe, non? C’est une illusion. Penser que la solution est à l’extérieur de nous engendre, au contraire, une attitude de passivité vis – à-vis de nous-mêmes. Croire que l’estime de soi augmente si on change un sourcil ou une poitrine revient à croire qu’il suffit d’avoir une télévision chère pour avoir un bon . On soigne la carcasse, mais pas assez l’intérieur, le vécu.

Comment se sentir séduisante avec une poitrine trop petite ou trop grosse? Il faut que la personne porte et vive sa poitrine, qu’elle commence à se regarder autrement, et à inciter chez l’autre un regard qu’elle pourrait supporter et dans lequel elle pourrait se sentir plus attirante. Les femmes qui songent à faire ce genre d’intervention devraient comprendre que c’est avant tout à l’intérieur d’elles-mêmes qu’elles devraient chercher ce qui les fait souffrir. Rajouter ou enlever des parties de son corps peut aider celles pour qui ces aménagements donnent un plus et non pas pour résoudre un malaise.

  •  Journal Migros Magasin: « Pour vous, c’est quoi un étranger ? »    7 nov.2011

      «L’Autre, grâce auquel je me positionne en tant que Je».

Mirela Fry, psychologue à Genève. (Photo:LDD)

Mirela Fry, psychologue à Genève.

«…Je et Tu surtout quand il s’agit du couple et de la famille ça peut faire un Nous. Il y a un sentiment d’appartenance, on partage les mêmes valeurs et les mêmes croyances!… L’autre, l’étranger va se situer en général à l’extérieur ! Il y a une frontière: au-delà, c’est l’Autre, en deçà c’est moi (ou nous). Parfois cette altérite est difficilement acceptable …  C’est ce qu’on appelle en thérapie systémique «le patient désigné» (le malade, le fou), c’est un Autre, que la famille ne veut plus reconnaître, car «il» ne s’identifie plus ni aux valeurs familiales, ni à leurs croyances!… Mais l’identité de la personne, ou du groupe, ainsi que le sentiment d’existence , donc de sa dignité en tant qu’être humain, passe  par la reconnaissance de l’Autre.»

  • Journal des étudiants , Etudiant.ch:

« Prendre une année sabbatique! »

Comment éviter que le rêve ne vire au cauchemar?

Tu rêves d’apprendre une nouvelle langue, de ou tout  simplement de faire un break dans tes études? dans ce cas, comme de plus en plus d’étudiants, tu planifies peut être de t’offrir une année sabbatique. Mais attention! Pas question de partir les yeux fermés et les deux bras en avant. Un tel projet, ça se prépare. Au risque de finir droit dans le mur.Une année sabbatique, c’est l’occasion en or de sortir du monde académique, de te défaire de la pression des résultats et de faire ce qui te plaît. Du stage à l’apprentissage d’une langue en passant par les , elle peut prendre des formes variées. A chaque type de congé correspond des besoins spécifiques. A toi d’identifi er les tiens, en fonction de tes envies, mais aussi de ta situation académique.«Le plus souvent, les étudiants choisissent de prendre une année sabbatique entre la maturité et l’université», selon Elisabeth Lamont, responsable du Service d’orientation et conseil de l’Université de Lausanne. Cela dit, bien que plus rare et compliqué, il est aussi possible de faire une pause au milieu de son cursus. La plupart des hautes écoles octroient en effet des congés dont la durée varie d’un semestre à deux ans.

Le congé sabbatique entre le bachelor et le master a également la cote auprès des étudiants. dans ce cas, l’acquisition d’une expérience professionnelle est le principal motif invoqué, selon l’office fédéral de la statistique (OFS).

De plus en plus de candidats à l’embauche font d’ailleurs mention d’une année sabbatique dans leur CV, d’après José M. San José, porte-parole d’Adecco, numéro un du travail temporaire en Suisse. Un pari , selon Mirela Fry, psychothérapeute à Carouge. Elle estime que 7 à 8% des directeurs d’entreprises jugent désormais qu’une année sabbatique est aussi importante qu’un diplôme.

Un avis partagé par le porteparole d’Adecco, qui considère la présence d’une année sabbatique sur un CV comme un plus «dans tous les cas». Selon lui, la meilleure façon de valoriser son congé est d’obtenir un certifi cat de langue ou de travail, fi xe ou temporaire, ou un de stage.

L’entreprise d’intérim est également sensible aux capacités que permet de développer chez un étudiant ce type de projet. «Réaliser un séjour à l’étranger demande de l’organisation, une capacité à s’imposer et du courage. C’est également l’occasion de faire connaissance avec d’autres cultures et d’élargir son horizon», s’enthousiasme le porte-parole.

Un rituel structurant

«Je ne savais pas trop quoi faire, alors j’ai pris une année sabbatique.» Cette phrase, qui ne l’a pas déjà entendue, prononcée? Pour Mirela Fry, l’année sabbatique peut effectivement contribuer à se remettre en selle. A condition toutefois d’y être préparé. «O n ne part pas dans la jungle sans être armé», image-t-elle. Dans le cas contraire, le risque est grand de revenir au point de départ une fois le congé écoulé. «Si c’est pour une fuir une réalité, mieux vaut éviter», prévient-elle.

«En cas de doutes, l’intermédiaire le plus sûr est de ne pas partir et de mener un projet sur place. Ce système à l’avantage de prendre du recul tout en restant dans un cadre connu et sécurisant. Il n’est pas nécessaire de partir en Australie pour se trouver», conseille-t-elle.

Il est essentiel de se poser les bonnes questions. Pourquoi est-ce que je veux faire une année sabbatique? Qu’est-ce que je cherche? Mieux vaut être au clair avec soi-même avant d’entamer son break académique. Celui-ci peut alors se transformer en véritable quête identitaire, explique la psychothérapeute.

A une époque où les jeunes manquent souvent de repères auxquels se raccrocher, l’année sabbatique peut aussi faire office de rituel, poursuit elle. «Des rites comme le mariage ou l’armée, très structurant psychiquement, tendent à perdre en importance aujourd’hui», selon elle. Le congé sabbatique peut alors se charger de remplir cette fonction.

Le retour aux études

Et après, je fais quoi? «Le retour aux études après une année sabbatique peut s’avérer périlleux», met en garde Elisabeth Lamont. «Certains étudiants finissent même par décrocher totalement», ajoute la psychologue conseillère en orientation, pour qui l’année sabbatique n’est pas toujours la solution la plus adaptée.

Philippe en a fait l’expérience. Sa maturité en poche, il décide de prendre une année sabbatique pour travailler et économiser. Il enchaîne alors les petits boulots. Une année passe, puis deux, et il décide finalement de commencer des études en droit à Genève, mais raccroche très vite. «Après avoir passé deux ans à travailler, le système académique ne me convenait plus», analyse-t-il lucidement.

A l’inverse, Letitia explique que son année sabbatique prise juste avant d’entamer son bachelor l’a remotivée à étudier. Elle non plus ne savait pas vraiment ce qu’elle voulait faire, alors elle a décidé de partir . D’abord aux Etats-Unis, puis en Australie.

Pour y arriver, elle travaille pendant un mois dans une banque à Genève. Après son congé, elle débute un bachelor en relations internationales, aujourd’hui accompli sans accroc. «Le retour aux études a été beaucoup plus facile que prévu», commente-t-elle.

Des craintes infondées

Comme en témoigne son cas, les craintes associées aux années sabbatiques ne sont pas toujours fondées. Une étude de l’Université de Genève datant de 2003 démontre que les jeunes ayant pris un congé entre la maturité et le bachelor obtiennent d’excellents résultats en première année d’université.

Des conclusions qui n’étonnent pas Mirela Fry. «Une année sabbatique permet de prendre du recul par rapport au monde académique et de se défaire de la pression des résultats», avance la psychothérapeute. En outre, elle aide à s’affirmer et à développer de nouvelles aptitudes sociales, selon elle.

Des propos nuancés par Elisabeth Lamont, qui conseille en général aux étudiants de poursuivre leurs études directement après leur maturité, en particulier pour les filières les plus pointues. «O n n’est jamais mieux préparé scolairement qu’après la maturité», argumente-t-elle.

Et s’il fallait malgré tout prodiguer quelques conseils pour réussir son année sabbatique? «Soyez actifs, exigeants envers vous-mêmes. Commencez tôt à chercher un stage ou un travail. Mais surtout, faites-vous aider, discutez-en autour de vous. Ne restez pas inactifs!», recommande Elisabeth Lamont.


(23.05.2011)

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  • Journal hebdomadaire Femina : « Couple, six clés pour faire durer l’harmonie et la magie »:… « Ces partenaires qui se sont réconnus et qui pensent être fait pour vivre ensemble. Les rituels pour renforcer le coté sacré du couple , ainsi que tous ses petits mots, ces regards, ces appelations qui constituie la grife du couple, sa signature et qui participent à l’aspect « unique  » de la rélation… »

Conférences :

  • Cycle: Culture et Rencontre – Genève : Collège de Saussure

« Le monde dans ma chambre ou tout en même temps » – mars 2009

Résumé:

Nos adolescents sont ils arrivés à une sorte d’impatience d’un vécu ,presque compensatoire,comme si plus rien ne suffisait? Ou bien quelque chose leur fait mal?

Qu’ils veulent juste oublier… »la réalité »(quelle est cette réalité qui fait « si mal »?) mais quels sont leurs intérêts,leur valeurs? Et qu’est-ce qui les animent?

Et nous,les parents,quelles sont nos inquiétudes,nos croyances les plus fortes? Comment aider nos enfant,sans trop s’immiscer dans leur intimité? Autant des questions auxquelles on va tenter de répondre,en nous appuyant sur des résultats récents quant à l’utilisation de l’ordinateur et du temps libre-et surtout avec votre aide.

  • Le 8 juillet 2009 sur Radio FM: « Le désir dans le couple ». Débat sur le désir et le besoin dans le couple.

  • Rencontres genevoises de thérapies familiales et d’interventions systémiques- Genève, les 18 et 19 septembre 2009: – « La systémique dans la cité ».

Atelier présenté et conduit : Sexualité et systémique .

Résumé:

Au delà de la demande à problématique sexuelle d’une personne ou d’un couple, se cachent souvent des difficultés d’ordre affectif, relationnelles . Il n’est pas rare de s’apercevoir que les difficultés sexuelles d’un de partenaire puisse entretenir la problématique sexuelle de l’autre. Un regard systémique s’impose, au delà de l’apprentissage spécifique quand à sa propre sexualité. D’où l’importance d’apprendre à se détacher de ses propres histoires familiales spécifiques pour faciliter l’accès à une vie de couple harmonieuse. Présentation d’une vignette clinique .

  • Colloque général du Service de santé de la jeunesse,invitée, le 4 novembre 2009, intitulé:- »Jeunes et écrans: quelle prévention? Quelle collaboration entre professionnels et parents ». Participation à la table ronde.
  • Commission du droit de pratique AGPSY 2008-2009: Comment choisir son psy? Comment accéder au titre de psychologue-psychothérapeute en indépendant?
  • Congrès de l’Association Européenne de Psychologie Transpersonnelle, les 16,17 et 18 avril 2010, à Bucarest:

    Workshop: « La maladie comme un lien cassé et comme une tentative échouée de guérison« .

    Conférence: « La rencontre, lien et connexion de Soi à la Conscience universelle ».

  • Congres EFTA- 29, 39, 31oct.2010- PARIS

    Atelier:  » Regard systémique sur le mal de vivre de nos ados ».

  • Conférence annuelle de l’Association Européenne de Psychologie Transpersonnelle, les 7,8 et 9 Septembre 2012 à Genève. :  « Le réveil à la vie, à la sexualité, à la mort ».

Conférences et Conférenciers :

1.La sexualité, ouverture vers les expériences transpersonnelles- Anca Munteanu.
2.Le cercle mystique de la divinité- entre tradition et représentation personnelle- Adria Jinaru.
3.La psychologie transpersonnelle et la nouvelle spiritualité – Constantin Dumitru Dulcan.
4.La balade Miorita- Le mythe de la mort chez les roumains- Ion et Maria Mânzat.
5.Les perspectives scientifiques dans l’explication de la psychotanathologie- Ionel Mohârta..
6.La transcendance de la mort avec l’immortalité – Vitor Rodriguez.
7.La déesse de la mort mystique Kali-.Juan Ruiz Naupuri chaman péruvien
8.Marchand sur la trace – Luminita Tundrea.
9.De la mort à la Vie : découvertes récentes-Marc-Alain Descamps
10.Pourquoi se réveiller ? – Mirela Fry
11.Le périple du chercheur spirituel ou la distance entre la vie et la mort – Iuliana Costea.
12.L’amour au jardin – Monique Hanley-Fourrage
13. Un-Hun Tuvan Shamanic Throat Singi-Vladislav Matrenitsky-
14.La vie quotidienne sacralisée par le réveil- Lucien Alfille.

Les ateliers:

1. La respiration pneuma – Juan Ruiz Naupari.
2. Chant chamanique – Vitor Rodriguez.
3. La Fleur- Ouverture à l’énergie vitale- Lucien Alfille
4. L’éveil à la présence au monde (au moyen de l’Axe et du Centre du Corps)- Lucien Alfille
5. La Thérapie transpersonnelle par régression – Vitor Rodriguez
6. Mirela Fry : Le réveil et la rencontre

7. Ionel Mohârta: Méthodes transpersonnelles pour développer les sens.

8. Maria Mânzat: Le reveil à la sexualité féminine!

 

  • Congrès EFTA à Athènes du 28 septembre au 3 octobre 2016:

atelier: « Pour notre salut-A force de tout vouloir mesurer, au risque de se perdre, on ne peut plus ne pas finir, pour mieux se retrouver, par commencer avec le commencement!